Adaptation de L’Enfant d’éléphant d’après Histoires comme ça de Rudyard Kipling
C’est l’histoire loufoque de la longue trompe des éléphants racontée en ombres, objets, matières et musique.
Un éléphanteau rempli d’une irrépressible curiosité et d’une insolente audace qui passe ses journées à questionner ses proches sur le pourquoi des choses qui l’entourent.
Et sa curiosité agace tout le monde.
Jusqu’au jour où il pose LA question qui va faire frémir toute la forêt, bousculer l’ordre établi et changer à jamais la vie des éléphants.
A travers un univers visuel fascinant, Enfant d’éléphant a ce quelque chose qui raconte la capacité de chacun à interroger le monde et à le transformer par sa force de créativité.
La compagnie
Diplômés du Conservatoire de Bordeaux et de l'Ecole Supérieure Nationale des Arts de la Marionnette de Charleville-Mézières, Sonia Millot et Vincent Nadal s’emparent librement de l’objet, de la marionnette, de l’image, du son, de la musique, du corps performatif et des rencontres humaines. Forte d’une équipe plurisdisciplinaire, leur compagnie basée à Bordeaux, revendiquent un théâtre débridé et authentique.
Distribution et soutiens
Mise en scène, interprétation, manipulation : Sonia Millot et Vincent Nadal / Conception graphique : Sonia Millot / Création sonore et musicale : Hervé Rigaud, Marc Closier / Construction : Marion Guérin, Chang N’Guyen, Jean-Luc Petit, Cédric Queau
Production - Diffusion : Karine Hernandez /
Partenaires : DRAC Nouvelle-Aquitaine-Ministère de la culture / OARA – Office Artistique Région Nouvelle-Aquitaine / IDDAC – Institut Départemental Développement Artistique et Culturel / Ville de Bordeaux / Théâtre Ducourneau d'Agen / Espace Jeliote, scène conventionnée d'Oloron Ste-Marie / Agglomération Pays Basque, dans le cadre de son programme Kultura bidean/Art, enfance, jeunesse / Théâtre des 4 saisons, Scène conventionnée de Gradignan / Théâtre du cloître, Scène conventionnée de Bellac / La Boître à jouer à Bordeaux / Les Marches de l'Eté à Bordeaux / Centre Simone Signoret à Canéjan / © Catherine Passerin