Spectacle tout public à partir de 4 ans.

« Sur le chemin j’ai ramassé des cailloux », est un prétexte à être ensemble, à se poser, observer et (s’)écouter, le temps d’une trêve…, un voyage qui se re-écrit chaque nouvelle fois pas à pas avec les spectateurs présents.
Asseyons-nous en cercle dans cette grotte et faisons confiance à tout ce qui se tissera et se racontera entre nous, dans ce présent commun.

Entre danse, performance et jeu visuel, la performeuse Natalia Durfraisse apporte, dans ce voyage improvisé, une générosité et une humilité qui séduisent d’emblée. Le chemin de pierres avance, les cairns se construisent, la montagne se profile… Point de discours pontifiant ici, juste la beauté du temps, de l’espace, des pierres et de l’art.

Natalia Dufraisse navigue entre la Belgique et la Dordogne.
Coup de cœur de la presse aux Rencontres Théâtre Jeune Public de Huy en 2021, son travail a reçu le Prix de l’Enfance de la Ministre de la Culture en Belgique.

Le collectif

Les Alices est un collectif multidisciplinaire d’artistes dont le travail évolue autour du théâtre et de la performance. Comme leur héroïne, celle du pays des merveilles, ils cherchent à passer au travers des miroirs des lieux et du temps en inventant et en jouant d’étranges histoires.Des histoires qui s’inspirent d’autres histoires grandes et petites pour toucher tant l’homme que la société qu’il habite, des histoires qui se racontent avec l’image, le corps, les mots, les sons…
Les axes de recherche du collectif évoluent autour des notions de perception, de réel, le rapport à l’Autre. Tout ce qui fait que deux personnes participant au même évènement vivront chacun une histoire différente.
Il cherche à élaborer un langage dramatique en résonance avec la complexité de notre perception. Pour cela, il a recours à différentes écritures scéniques, telles que le texte, la chorégraphie, les images, le multimédia, le théâtre.
Il puise dans des matériaux littéraires ou documentaires pour échafauder une situation fictive comme point de départ. C’est autant l’histoire elle-même que la manière dont elle est narrée puis interprétée par le spectateur qui constitue le fond de leur recherche.
Le processus de création du collectif repose sur une recherche instinctive, entre expérimentation sur le terrain et travail de réflexion, de digestion, des différents matériaux.