En s’éloignant du live instrumental classique, Thomas Bonvalet cherche à structurer une nouvelle forme de concert - plus proche de l’installation et de la performance musicale. Alors que dans ses précédents sets, les sources sonores étaient concentrées autour de lui, elles seront désormais réparties à divers endroits du plateau, obligeant l’artiste à se déplacer, à changer son rapport à l’espace pour interagir avec un instrumentarium toujours aussi composite (banjo basse six cordes, métronome mécanique, diapasons, claves, frappements de pieds et de mains, mini-amplificateurs, amplificateurs, subwoofer, micros, petite table de mixage, cloches, fragments d’orgue à bouche, concertina, componiums, « stringin it », audio ducker, peau de tambour, moteurs à ressorts…).
En janvier 2021, L’Ocelle mare était invité par la compagnie Ouïe/Dire à Coulounieix-Chamiers pour partager des temps d’exploration du quartier de la Cité Jacqueline Auriol.
L'artiste est allé à la rencontre de ses habitants et de ses acteurs afin de proposer, avec Jean-Léon Pallandre et Marc Pichelin, des interventions musicales dans différents espaces de la Cité.